Découvrez 4 thèmes d’actualité qui ont retenu l’attention de Cloudlist durant la dernière quinzaine :
La Business Intelligence doit intégrer davantage d’ « intelligence active »
Les outils de Business Intelligence investissent les entreprises. Leur soutien à la décision est en effet précieux face à des volumes massifs d’information difficiles à traiter. Pourtant, les données trop anciennes ou mal structurées pourraient bien nuire aux analyses des logiciels de BI : la donnée analysée doit, par défaut, être disponible en temps réel et disposer d’un indice de confiance maximal pour offrir des résultats concluants.
La qualification des données nécessite une intervention en amont. Dès leur intégration, les outils de Business Intelligence doivent pouvoir comprendre les enjeux métiers. A cela s’ajoute un fort besoin de contextualisation, mais aussi de communication continue entre les producteurs de donnée et leurs utilisateurs. La BI ne s’adresse désormais plus uniquement aux responsables métier : elle doit impliquer tous les collaborateurs afin d’apporter de l’agilité et de générer une forme d’intelligence active dans toute l’entreprise.
Consultez l’article sur Le Journal du Net.
La signature électronique se démocratise dans les entreprises
Jusqu’à présent boudée par les entreprises, la signature électronique se démocratise désormais, favorisée par le besoin de validation à distance. Outre les documents commerciaux, ce sont à présent une large part de procédures RH qui se concluent grâce à la signature dématérialisée. Cette adoption du dispositif est bienvenue dans les services RH, qui font de plus en plus appel à à l’automatisation et à la dématérialisation (via le SIRH notamment) pour gagner en efficacité.
Les questions de sécurité ont jusqu’alors été les principaux freins au développement de la signature électronique. Les mesures de protection des documents virtuels sont pourtant de plus en plus fortes, tenant compte des échanges massifs auxquels sont désormais contraintes les entreprises. Le chiffrement des documents et la conformité aux exigences de l’UE en la matière achève de convaincre les entreprises, qui adoptent la signature électronique dans la continuité de leur transformation numérique.
Consultez l’article sur Le Monde Informatique.
L’IoT au service du transport de vaccins
L’utilité de l’IoT dans le secteur pharmaceutique s’illustre à l’heure actuelle avec le transport des vaccins. La capacité des objets connectés à collecter les données tout au long de la chaîne logistique est alors précieuse : les points de faiblesse sont plus rapidement identifiés, et permettent d’économiser un temps et des coûts importants dans un contexte d’investissements massifs. Le recours à l’IoT est source de valeur ajoutée vis-à-vis des clients et des patients, pour lesquels la confiance est un facteur clé. Mais c’est également un atout de taille dans le transport de produits sensibles vers des pays en développement. L’IoT devient alors garant de l’équité de la distribution malgré les conditions climatiques particulières dans les pays de livraison. Venant enrichir les solutions intelligentes déjà à la disposition du secteur pharmaceutique, les objets connectés deviennent partie intégrante de la chaîne logistique.
Consultez l’article sur Usine Digitale.
La réalité augmentée répond aux enjeux soulevés par la crise
La réalité augmentée est le dispositif tout désigné pour répondre au besoin d’immersion des utilisateurs, en particulier en période de crise et de distanciation sociale. Mais la RA se met également au service de la formation continue des collaborateurs ! Ceux-ci peuvent acquérir de nouveaux savoirs rapidement, avec un niveau de pratique plus satisfaisant qu’avec une formation traditionnelle. La mise en place logistique de la formation est elle aussi allégée, réduisant les coûts pour les entreprises à la situation financière déjà tendue.
Cette transformation de la formation doit aussi répondre à une nécessité pressante : disposer rapidement de profils qualifiés malgré la pénurie de main d’œuvre. La transmission de savoirs aux nouveaux arrivants ou l’acquisition en interne de nouvelles compétences sont facilitées par la RA, qui joue également un rôle clé dans l’image d’entreprise. Ce canal encore en pleine explosion a encore beaucoup à démontrer : capable de s’adapter à de nombreux usages — notamment mobiles —, la RA peut répondre avec succès à une large part de problématiques actuelles.
Consultez l’article sur Le Journal du Net.
Des dépenses IT dynamiques en 2021 et 2022
Les dépenses IT n’ont été que modérément ralenties par la crise : le cabinet Gartner prévoit un investissement de 4100 millions de dollars en 2021 et une croissance continue en 2022 pour les achats liés à l’infrastructure informatique. Ces achats sont très divers et visent à moderniser la plupart des équipements, mais le point marquant est l’augmentation des appareils par utilisateur. Une tendance qui confirme la diversification des terminaux depuis lesquels est consultée la donnée. Favorisée par le travail à distance et la mobilité croissante des travailleurs, l’augmentation du nombre de devices confirme le besoin de disposer en parallèle d’applications métier accessibles depuis n’importe où, responsive sur mobile et intuitives. Les outils de terrain tels que la GMAO ou les applications BIM sont directement concernées. Les dépenses IT prévues cette année visent à finaliser des projets digitaux importants, tout en veillant à respecter les coûts.
Consultez l’article sur Le Monde Informatique.