Décryptage secteur

Comment choisir ses logiciels pour l’innovation ?

L’innovation connaît actuellement une croissance toute particulière. L’accélération des flux d’information, du time-to-market et du niveau technologique des produits entraîne un niveau d’exigence inégalé dans ce domaine. En réponse aux attentes clients, on assiste à une explosion des outils facilitateurs, lesquels ouvrent des possibilités à tous les niveaux de la création des produits. Les solutions modernes de soutien à l’innovation, accessibles au plus grand nombre, font entrer dans la course concurrentielle des petites structures aux moyens autrefois plus limités. La collaboration, qui influe souvent sur la capacité à innover, peut quant à elle faire naître des initiatives ultra-performantes.

Cependant, loin de l’image idyllique de transformations fulgurantes, le panorama entrepreneurial français est plutôt contrasté lorsqu’il s’agit d’innovation. L’investissement à concéder et les contraintes pour la mise en œuvre des produits constituent des défis de taille, que seule une stratégie efficace permet de surmonter. Entre progrès organisationnels, transformation de l’infrastructure et débats d’idées, les sociétés françaises sont actuellement en plein effort pour faire de l’innovation une seconde nature.

La digitalisation au service de l’innovation

L’innovation est intimement liée à la digitalisation. S’appuyant constamment sur les avancées technologiques les plus récentes pour proposer des produits et services avec une longueur d’avance, les entreprises innovantes ont su prendre le train du numérique dès ses débuts.

L’innovation n’a cependant pas attendu l’arrivée du digital pour porter certaines entreprises au sommet de leur marché. Prenant tout d’abord la forme d’inventions qui devenaient le fer de lance de leur marque fondatrice, elle a ensuite été faite de brevets avec l’essor de la R&D et des développements en interne. Par la suite, la collaboration entre entreprises, mais aussi avec des universités ou instituts de recherche a ouvert de nouvelles possibilités. Le partage de compétences a alors démultiplié le potentiel d’innovation en créant de « super-structures ».

 

Dès son apparition mais plus particulièrement au début du XXIème siècle, le numérique a ouvert une voie royale à l’innovation, offrant aux entreprises de toute taille la possibilité de se démarquer de leurs concurrents. L’accès aux données par tous a bouleversé un monde autrefois très fermé et essentiellement réservé aux grands groupes, seuls capables de supporter le poids financier de cette innovation. Grâce au succès des financements participatifs, à l’ouverture des structures et à l’incroyable circulation des données, le processus d’innovation est devenu un chantier de grande ampleur où cohabitent de très nombreux acteurs. Les outils collaboratifs, l’open innovation et la co-innovation sont autant de concepts fédérateurs qui font naître des idées hors du commun. Les méthodes ne cessent d’évoluer avec l’essor des outils logiciels, s’adaptant en permanence aux contraintes grandissantes des marchés.

Quels sont les enjeux pour l’innovation ?

Parvenir au seuil de rentabilité

L’innovation peut coûter cher selon les secteurs. La R&D, qui fournit un travail colossal pour proposer des produits aussi qualitatifs que différenciants, génère des dépenses importantes, qui ne peuvent être rentabilisées qu’à moyen ou long terme. Pour les entreprises qui innovent, la création de chaque produit ou service est donc un pari sur l’avenir, en particulier en début d’activité. Leur portefeuille produits doit donc faire l’objet d’une stratégie élaborée, qui tient compte de la prise de risques.

Par ailleurs, les innovations de type organisationnel pèsent quant à elles sur les finances des entreprises, sans perspective de contrepartie financière, du moins à court ou moyen terme. Celles-ci doivent donc avoir une maturité suffisante pour innover sereinement.

Se différencier face à la standardisation des produits

Dans un contexte de forte standardisation des produits, les manières de se démarquer de la concurrence deviennent peu nombreuses. Les prévisions de vente des produits ou services deviennent alors plus incertaines. Pour nombre d’entreprises, la qualité ne suffit donc plus : il est nécessaire de développer une offre plus innovante pour prendre la tête de la course. La mobilisation des plus grands atouts technologiques disponibles permet aux firmes du secteur de proposer des innovations réellement différenciantes. Celles-ci sont importantes à double titre puisqu’elles changent à la fois la perception que les consommateurs auront de la marque, mais impactent aussi la rentabilité du produit. L’enjeu, pour les entreprises du secteur, est donc de concilier nouveauté et efficacité.

Répondre à des besoins sociétaux pressants

Les procédés de conception et de production en usage jusqu’à présent sont massivement rejetés par les consommateurs. Procédés polluants, production de déchets et gaspillage, compositions qui inquiètent : les méthodes employées dans une majorité d’industries doivent être repensées. Les attentes sont donc fortes : les marques doivent désormais concevoir des produits d’avenir tout en répondant parfaitement à la demande actuelle. Mais pour être pérenne, elles doivent également aller plus loin en repensant leurs processus de production et leur organisation : l’innovation est alors bienvenue. En répondant à ce double objectif, elle renforce par ailleurs l’image des entreprises qui affichent une démarche plus écologique.

Concrétiser les idées

Pour s’offrir un avantage concurrentiel certain, il n’est pas seulement nécessaire de faire naître des idées innovantes : la mise en œuvre est un enjeu clé, qui rencontre un certain nombre d’obstacles. Ceux-ci peuvent être liés aux coûts, à une incertitude concernant la demande, à un manque de ressources humaines qualifiées ou encore à une insuffisance technologique. Les étapes à franchir sont nombreuses avant de concrétiser une idée innovante. L’innovation nécessite certes de mettre en place de nouvelles manières de pensées, mais aussi et surtout de s’assurer assez tôt d’avoir la capacité de faire aboutir les idées.

Développer de nouveaux business models

L’apparition sur le marché d’organismes 100% digitaux le montre clairement : les business models sont appelés à évoluer. Jusqu’à présent basé sur le taux horaire de la formation, le coût de chaque formation évolue désormais vers une valorisation de l’enseignement lui-même. La législation va elle aussi progressivement en ce sens : la validation d’enseignements et de connaissances prime sur la simple présence de l’apprenant.

Pour les acteurs les plus traditionnels du marché, une réflexion s’impose pour remodeler les façons d’enseigner, les parcours de chaque stagiaire, ainsi que les validations d’acquis. L’offre doit être attrayante et justifier concrètement son prix pour des entreprises en quête de méthodes innovantes. L’éventail doit être assez large pour satisfaire à la fois les entreprises qui souhaitent rester sur le modèle présentiel, et celles qui plébiscitent le e-learning, plus souple d’utilisation. La valorisation de l’offre est essentielle : le coût des formations virtuelles, s’il ne diffère pas de celui du présentiel, doit être justifié pour convaincre.

Tirer le meilleur parti des ressources internes

L’innovation ne concerne pas uniquement les produits : la migration vers de nouvelles méthodes de travail est elle aussi très précieuse aux entreprises. L’optimisation des outils, logiciels et processus est un enjeu majeur : une meilleure organisation permet de mieux exploiter les capacités humaines, d’entretenir et d’allouer les machines au bon moment, de limiter les erreurs et de gagner du temps. L’emploi de méthodes plus innovantes raccourcit donc le time-to-market et génère des économies de conception et de production précieuses.

Valoriser le savoir-faire

Dans la course à l’enseignement numérique, les agences traditionnelles ont tout intérêt à se distinguer grâce à leurs savoir-faire particuliers. Faire valoir des enseignements très techniques ou spécifiques est un enjeu pour se positionner de manière plus pérenne, face à des concurrents digitaux souvent assez généralistes. Si les organismes les moins rompus à la création de supports digitaux ne parviennent pas toujours à moderniser leur offre, des partenariats sont possibles avec les spécialistes du e-learning. L’enjeu est de conserver ce qui fait la force d’un enseignement tout en se modernisant pour répondre à la demande.

Soigner son image

L’image de marque est essentielle sur des marchés saturés de produits et d’informations. Être innovant permet de répondre à des besoins non-encore exprimés, de mettre à disposition les produits via des canaux plus pratiques, ou encore de fournir un service après-vente performant. L’innovation permet de prendre soin de ses clients et donc de s’assurer satisfaction et notoriété. Au-delà même des performances, la volonté affichée d’une marque d’adopter des méthodes modernes est vecteur d’admiration et de confiance, et a un impact direct sur l’affect des utilisateurs.

 

Logiciel pilotage talents

Le Machine Learning, au plus près de l’humain

Le Machine Learning et, plus récemment, sa sous-division du Deep Learning, alimentent aujourd’hui autant d’espoirs et d’ambitions que de craintes. En permettant de traiter les données…

Quels sont les différentes formes de l’innovation ?

L’innovation produit

Ce type d’innovation est le plus visible sur un marché. L’innovation produit concerne les nouvelles idées et concepts, mais aussi les méthodes de production et de commercialisation qui se distinguent des autres par leur modernité et leur efficacité. Au cœur de ce type d’innovation, la R&D et le marketing travaillent désormais en étroite collaboration. Si, autrefois, le département recherche concevait des articles et les responsables marketing avaient essentiellement pour tâche de les commercialiser, le département marketing joue aujourd’hui un rôle essentiel en analysant et remontant les tendances du marché pour mieux orienter les efforts de recherche.

L’innovation produit est elle-même assez large. Les articles commercialisés à l’heure actuelle ne sont que rarement de nature innovante : l’innovation consiste bien souvent à proposer des services associés ou un mode de consommation possédant des atouts hors du commun.

L’innovation marketing et commerciale

Outre le produit lui-même, les méthodes de packaging et de commercialisation peuvent elles aussi être innovantes. Chaque variable du mix marketing (produit, prix, distribution, promotion) est susceptible de faire l’objet de nouveautés différenciantes. Liées à l’innovation produit, les innovations marketing permettent d’étendre la nouveauté aux aspects les plus divers et de marquer ainsi les esprits des consommateurs.

Sur le plan commercial, des techniques de vente, de relance ou de suivi innovantes peuvent quant à elle améliorer significativement le taux de conversion ou la fidélisation. Les outils numériques en progrès constant fournissent un soutien précieux aux équipes de vente qui recherchent la différenciation.

L’innovation organisationnelle

L’innovation peut également concerner les procédés et méthodes de travail. Qu’il s’agisse de production, de collaboration avec des fournisseurs ou de distribution, il existe de nombreux axes d’innovation au cœur des organisations. L’objectif : s’affranchir de lourdeurs dues à des tâches répétitives, mieux allouer les ressources humaines et réaliser de précieuses économies de coût.

Ce type d’évolution au sein de l’entreprise peut être coûteuse en temps et en efforts : elle mobilise tout ou partie des collaborateurs, bouleverse des habitudes et des automatismes de longue date et peut faire l’objet de résistances. L’innovation organisationnelle offre pourtant aux entreprises un potentiel de progression très fort et durable. Elle induit des améliorations qui s’appliquent à chaque produit et exploite de manière optimale les capacités humaines et matérielles dont dispose l’entreprise.

L’innovation informatique et d’infrastructure

A une ère de partage intensif des données, les entreprises doivent pouvoir exploiter l’information rapidement et de manière fiable. L’innovation liée aux équipements et à la manière de concevoir un produit peut offrir à celles-ci une avance certaine sur la concurrence. Alors que les outils informatiques du marché se modernisent sans cesse, on constate que les infrastructures des entreprises sont bien souvent obsolètes. Pourtant, malgré leur coût, les infrastructures informatiques sont un soutien indispensable à l’innovation et méritent, elles aussi, d’être développées : l’internet des objets, la réalité augmentée, les outils exploitant l’intelligence artificielle font partie des innovations dont les entreprises doivent se saisir pour se démarquer.

Quels logiciels pour soutenir l’innovation ?

Pour les entreprises en quête d’innovation, les outils logiciels sont d’importants soutiens à plusieurs niveaux. Ceux-ci s’intègrent au quotidien des collaborateurs pour plus de partage d’idées, pour accélérer la réalisation des missions ou bien pour fournir une information très structurée. Mais les logiciels pour l’innovation ont aussi pour rôle d’observer l’ensemble de la création d’un produit et de pointer, à chaque étape, les axes d’amélioration.

Les outils de pilotage de l’innovation

Ces outils, spécifiquement conçus pour favoriser l’innovation à chaque étape du développement produit, proposent une vue d’ensemble du cycle de l’information. Ils accompagnent à la fois la détection de nouvelles opportunités, le prototypage et la production, mais aussi le packaging et la promotion, sans oublier la gestion des partenaires et fournisseurs. L’objectif : analyser le produit tout au long de son cycle de vie, en prenant également en compte les interactions et incidences entre toutes les étapes de création. Cette vision à 360° est d’autant plus essentielle pour l’innovation qu’elle permet d’anticiper de nombreux écueils. La réalisation est ensuite plus fluide et le time-to-market se raccourcit, tout en permettant d’introduire l’innovation à tous les niveaux.

Les outils collaboratifs pour la génération d’idées

On estime que 95% des capacités d’innovation se trouvent déjà au sein de chaque entreprise, sous forme de connaissances peu ou mal exploitées. L’enjeu, pour les décideurs, est donc d’exprimer le potentiel de leurs collaborateurs et de faire émerger les idées encore en gestation. Les plateformes collaboratives et boîtes à idées numériques ont le vent en poupe et sont des outils simples et efficaces au service de l’innovation.

La possibilité pour chacun de travailler sur des projets communs, de suggérer des améliorations ou se positionner quant à la stratégie de son entreprise fait naître des idées hors des sentiers battus, véritables vecteurs d’innovation. Certains outils, à l’image de la société Innovative Community, fournissent des fonctionnalités d’intelligence artificielle permettant aux participants de bâtir de véritables prototypes et de mettre rapidement en action leurs idées.

Les outils d’information produit pour la R&D

Au stade de la conception produit, l’information est clé pour les équipes en charge de concrétiser l’innovation. Le digital a alors un rôle clé à jouer, via des outils de gestion de l’information. Le PLM (Product Lifecycle Management) et le PIM (Product Information Management) notamment, contribuent à une gestion fine des données produit. L’accessibilité rapide, à tout moment, des informations et documents clés accélèrent le travail de recherche. L’emploi de modules logiciels R&D permet de réaliser des tests et simulations et de concrétiser plus rapidement les innovations, voire de développer des pistes et méthodes, elles-mêmes innovantes.

Les logiciels de gestion des méthodes de travail

Les logiciels de BPM figurent parmi les plus grands soutiens de l’innovation en entreprise. Leur action permet en effet de prendre du recul sur les méthodes de travail, de remettre en question des procédés établis de longue date et de cartographier plus simplement l’organisation d’entreprise. L’innovation passe par une démarche d’amélioration continue des processus : bien orchestrée, celle-ci fait tôt ou tard émerger des points différenciants. La modélisation des processus par les outils spécialisés simplifie l’identification de leviers d’innovation. Enfin, la contribution à la réflexion par des collaborateurs de tous services fait, elle aussi, émerger des idées inédites.

Les outils de gestion documentaire tout au long de la création du produit

La gestion des documents techniques et des informations de manière pointue et intelligente est un soutien précieux pour l’innovation. Les outils digitaux récents vont au-delà du simple stockage d’information pour favoriser l’accès aux données partout et à tout moment. Plus agiles grâce à la GED, les entreprises minimisent les tâches administratives à faible valeur ajoutée et disposent des supports adéquats pour se recentrer sur leur cœur de métier. Depuis la formulation d’un produit à sa mise sur le marché, la centralisation de l’information en un point unique et sécurisé offre un cadre propice à l’innovation.

Les plateformes d’open innovation

Les outils logiciels au service de l’open innovation sont nombreux et de diverses natures. Du Système de Management des Idées (SMI), utilisable également en interne, aux plateformes de type « connecteur » pour la mise en relation entre grands groupes et start-ups, en passant par le Crowdsolving — qui soumet une problématique à un large public — et par les API, les possibilités sont riches pour les entreprises en quête d’idées neuves. Ces plateformes facilitent les échanges et garantissent la maîtrise des échanges de données parfois sensibles. Les outils numériques permettent ici à une entreprise de s’offrir rapidement des compétences qu’elle ne possédait pas en interne, tout en faisant profiter de son expérience à ses partenaires de travail.

Quelles sont les contraintes et spécificités de la digitalisation de l’innovation ?​

Pour aboutir, l’innovation doit bénéficier de conditions favorables, qu’il est parfois difficile de réunir. La combinaison de facteurs propres à l’entreprise et de conjoncture économique complique parfois la mise en œuvre de nouveautés. La faisabilité, influencée par un certain nombre de contraintes, nécessite une étude préalable tenant compte de tous les paramètres clés :

L’aspect financier

L’innovation requiert un effort financier de la part des entreprises, en particulier lorsque des équipements ou ressources spéciales sont nécessaires. L’investissement doit être envisageable pour que le produit voie le jour et la rentabilité de celui-ci être calculée assez précisément pour garantir un succès commercial une fois le produit mis sur le marché.

La capacité technologique

L’innovation nécessite un équilibre entre compétences humaines, ouverture d’entreprise et infrastructure technique. Si cette dernière est trop faible, la conception de produits et services innovants sera compromise. Les études de faisabilité font le bilan des ressources et s’assurent de l’adéquation entre l’idée et les besoins du marché.

La culture et les mentalités d’entreprise

Les méthodes durablement instaurées sont parfois difficiles à faire changer. L’innovation organisationnelle, en particulier, demande d’adopter des changements profonds et de fournir des efforts humains importants. La maturité de l’entreprise et sa culture doivent être favorables pour que les collaborateurs acceptent le changement, et en deviennent même le moteur.

Le cadre réglementaire

Lorsqu’elle concerne des secteurs tels que l’agroalimentaire ou les produits pharmaceutiques par exemple, l’innovation doit se faire dans un contexte très strictement encadré. Il en résulte souvent des limitations, que l’entreprise doit être capable de pallier intelligemment. L’inventivité des ressources humaines et la collaboration entre entreprise peuvent alors faire naître des idées innovantes malgré la contrainte.

Les prérequis éthiques et écologiques

La demande en produits et procédés plus respectueux de l’environnement est forte de la part des consommateurs. Souvent contraignantes sur le plan technique et financier, les exigences écologiques poussent les entrepreneurs à revoir leurs méthodes en profondeur. L’effort à fournir est important mais les effets peuvent être très positifs sur l’image d’entreprise.

En conclusion

Si l’innovation a, de tout temps, prouvé qu’elle pouvait s’inviter dans tous les secteurs et de manières très diverses, le digital ouvre définitivement des perspectives à tous les profils d’entreprise. Les structures plus modestes comme les grands groupes peuvent désormais favoriser le partage d’idées et la mise en œuvre de produits et services innovants en s’appuyant sur des outils d’optimisation constante.

Les questionnements sont nombreux avant de voir véritablement naître un produit innovant. Faisabilité, mise en œuvre, mentalités encore traditionnelles ne sont que quelques unes des composantes de l’univers concurrentiel complexe dans lequel évoluent aujourd’hui les entreprises. Le digital et ses outils collaboratifs bouleversent les organisations et demandent de mener une vraie réflexion de chaque entreprise sur ses ambitions futures. Conception, marketing, ressources employées : l’innovation touche aujourd’hui tant de facettes des produits et services qu’il est nécessaire de prendre du recul et de se montrer visionnaire pour se différencier réellement. Blockchain, intelligence artificielle, robotisation : les outils de demain seront à maîtriser rapidement pour espérer prendre assez tôt un tournant qui s’annonce décisif.

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